Dans sa r\u00e9action \u00e0 la nouvelle version de l\u2019Accord de partenariat fran\u00e7ais, qui indique \u00e0 l\u2019Union europ\u00e9enne les priorit\u00e9s de financement des prochains fonds europ\u00e9ens, l\u2019AMF a d\u00e9plor\u00e9 que le volet local de l\u2019Accord reste insuffisamment marqu\u00e9. En effet, certaines r\u00e9gions ne se saisiront pas d\u2019un des objectifs politiques de la politique de coh\u00e9sion, \u00e0 savoir une Europe plus proche des citoyens. Or, c\u2019est via cet objectif que les communes et leurs groupements pourront v\u00e9ritablement prendre toute leur part aux efforts nationaux et europ\u00e9ens de relance.<\/p>\n
Plus largement, l\u2019AMF r\u00e9clame que tous les axes d\u00e9crits dans les autres objectifs soient applicables \u00e0 toutes les strates de collectivit\u00e9s, des plus rurales, au plus urbaines et p\u00e9ri-urbaines et propose de fl\u00e9cher certaines actions pour les communes et leurs groupements.<\/p>\n
Reste d\u00e9sormais aux r\u00e9gions, en tant qu\u2019Autorit\u00e9 de gestion de mettre en place ces fonds europ\u00e9ens au plus pr\u00e8s des territoires et des citoyens.<\/p>\n
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